vendredi, septembre 23, 2005

Pontoise


La piscine Pontoise est un luxe d'espace dans une periode dans laquelle chaque centimetre carré est rationalisé et pensé pour etre utile. Quand la piscine a ete bati dans les annee '30, l'idee du beau, au moin pour les plus riches, etait prevailant sur le rationalism architecturale.
Les cabines contournent la piscine sur deux niveau et des mosaiques decorent les mezzanines. Une verriere est le toit.
Je naige dans la lumiere bleu, les penseé de la journee s'ecoulent tandis que les bras prennent confiance avec l'eau, jusq'au disparetre quand le corp est un avec l'eau, leger, sans gravité. Une lumiere bleu clair accopaigne mon regard tandis que je sort.

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La piscina Pointoise é un lusso di spazio in un periodo in cui ogni centimetro quadrato é razionato e pensato perché sia utile. Quando la piscina é stata costruita, negli anni '30, l'idea del bello, almeno per pochi abbienti, prevaleva sul razionalismo architettonico.Le cabine spogliatoio contornano la piscina su due livelli, ed i mosaici decorano i ballatoi. Una vetrata ricopre il tetto.
Nuoto nella luce blu, i pensieri della giornata rallentano il ritmo via via che le bracciate prendono confidenza con l'acqua, fino a cessare quando il corpo e' uno con l'acqua, alleggerito dalla gravita'. Una luce azzurra accompagna il mio sguardo mentre esco.

mardi, septembre 20, 2005

L'automne - l'autunno

L'autumne est arrivé avec quelque jours d'avance. Le vent froid tapisse le trottoir des feuilles seches. Je suis arrivé avec l'ete, quand la lumiere resisté jusq'au 22 heures. Les sans toit son beaucoup ici à Paris. La majorité est composé par hommes des 60 ans, routinieres, qui habitent les trottoirs, les cabines telephoniques et les laveries automatiques.. Toujours les meme hommes, q'on attend de voir dans les meme endroits, pendant que notres habitudes croisent les leur. Et que, quand ils manquent on se demande ou ils sont allés. Comme 'insciallah', qui n'habite plus le couloir entre la 4 et la 12, sinon dans les souvenir des passagers routiniers.

E' arrivato l'autunno, con qualche giorno di anticipo, il vento freddo tappezza il marciapiede di foglie ingiallite. Sono arrivata con l'estate, quando la luce resisteva fino alle 22. Sono tanti, qui a Parigi, i senza casa. La maggioranza é composta da uomini sui 60 anni, abitudinari, che abitano i marciapiedi, le cabine telefoniche, le lavanderie automatiche... Sempre gli stessi uomini, che ti aspetti di vedere negli stessi posti, mentre le tue abitudini incrociano le sue. E che quando mancano ti chiedi, che fine avranno fatto? Come 'insciallah', che non abita piu' il corridoio tra la 4 e la 12, se non nel ricordo dei passeggeri abituali.

mardi, septembre 13, 2005

la choix - la scelta

A' Milan, les portes du metro se ferment, mais le passager en retard, qui voit du quai les portes en train de se fermer, peut esperer que le conducteur, dans son arbitre , choisisse de les re-ouvrir. En creant comme ça une opportunité de plus dans l'arbre des événement qui on vit chaque jour et qui nous conduise vers certaines choses et pas vers des autres. La possibilité des coincidences.
A' Paris les portes du metro se ferment. L'action est definitive. Je m'en suis aperçu de la premiere fois, à travers le regard sans espoir et triste de qui reste au quai. Desormais les passagers routinieres savent, quand ils entend le siffle de fermeture, si la possibilité de sauter à travers les portes est dans leur jambes. Quelques-uns essaient en savant. Des autres essaient en ignorant, les portes lui guillotinent inesorablement, le conducteur lui engeule par l'interphone. L'autre soir un groupe des retraités Italiens a cherché de sauter desastreusement sur un trein de la ligne 14. Queleques-uns est resté au quai. Tandis que d'autres cherchaient d'attirer l'attention du conducteur.Mais la ligne 14 c'est la premiere ligne automatisé de Paris. Pas de conducteur.

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Le porte della metropolitana, a Milano, si chiudono, ma il passeggero ritardatario, che vede le porte chiudersi dalla banchina, puo' sperare nell'arbitrarieta' del conducente, che decida di riaprirle.
Creando cosi' un'opportunita' in piu' nell'albero degli eventi che viviamo ogni giorno e che ci conduce verso certe cose e non verso altre. La possibilità di coincidenze.
A Parigi le porte della metropolitana si chiudono. L'azione é definitiva. Me ne sono accorta le prime volte dallo sguardo rassegnato, triste, di chi rimane chiuso fuori. Ormai, i passeggeri abituali sanno, quando odono il segnale sonoro, se e' nelle loro gambe poter saltare tra le porte che si chiudono. Alcuni tentano sapendo. Altri, ignorando, ci provano e vengono inesorabilmente ghigliottinati dalle porte che si richiudono, redarguiti dal conducente per l'interfono. L'altra sera un gruppo di pensionati italiani ha tentato di saltare disastrosamente sulla linea 14. Alcuni sono rimasti sulla banchina. Mentre altri del gruppo cercavano di attirare l'attenzione del conducente. Ma la linea 14 é la prima linea automatica di Parigi, non esiste conducente.

dimanche, septembre 11, 2005

Temps et mouvement - Tempo e movimento

Apres le lieu de travail, le deuxieme lieu ou je passe la pluspart de mon temp c'est le transport, dans le mouvement. Metro', bus, tram sont les plus familiares pour moi: En moyenne deux heures par jour, une centaine des marches et trois cente metres pour passer d'une correspondance a' l'autre. Une de le premiere phrase que j'a entendu en arrivant a' Paris, c'etait que Paris est une ville qui consume, cracque les gens, en allant vite. C'etait dans le taxi da la gare a' le studio. En observant les autres ca semble qui est comme ca. Rollerblade, pattins, monopattins, biciclettes, course, sont tous les moyennes des deplacement qui augmentent la vitesse dans la ville, en combinason, ou moins, avec le transports publiques. Moi aussi je me suis equippe' avec des rolleurs, pour suivre le rithme de la ville.
Le pendule de Foucault, qui est conserve' au Pantheon, semble rouer, mais c'est la terre qui dans le deplacement cause le mouvement continu du pendule. Un paradox de mouvement.

Dopo il lavoro, il secondo luogo dove passo piu' tempo a Parigi e' nei trasporti, nel movimento. Metro', bus, tram sono i piu' familiari per me. In media due ore al giorno, cento scalini e trecento metri al giorno per passare da un mezzo ad un altro. Una delle prime frasi, che il taxista nel tragitto dalla stazione al monolocale disse, fu , piu' o meno, 'Parigi ci consuma col ritmo veloce '. E osservando gli altri sembra che sia così. Rollerblade, pattini, monopattini, biciclette, corsa sono tutti i mezzi di spostamento veloce, piu' veloce, nella citta' ,combinato o meno coi mezzi pubblici. Ho preso anch'io i rollerblade, per seguire il ritmo della citta'.
Il pendolo di Foucault, conservato al Pantheon, sembra routare, ma infatti e' la terra che spostandosi provoca il movimento continuo del pendolo. Un paradosso di movimento.